Entre vieux cinéastes fatigués dont les films sont de vrais camouflets et jeunes pousses ambitieuses et persévérantes, il y a les confirmés dont la qualité artistique de leurs œuvres a séduit aussi bien le jury que les spectateurs.
Après une semaine de projections de films, de panels, master class et hommages, une rétrospective semble nécessaire pour évaluer la 35e édition des Journées cinématographiques de Carthage. Le cru n’est pas tout à fait exceptionnel. Il reflète le peu de productions dans des pays en guerre : la Palestine, le Liban, la Syrie, le Soudan, etc.
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